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Présentation

La Postérité de l’école de Francfort

avec Alain Blanc - p. 11-17, Syllepse, 2004




Ce volume que nous avons le plaisir de présenter rassemble treize articles proposes par des collègues français et étrangers que nous remercions très chaleureusement d’avoir apporte leur contribution. Il résulte du projet de mieux connaître I’influence, la réception et la postérité des thèses de l’École de Francfort. Si c’est directement que nous avons sollicité nos collègues français, c’est par l’intermédiaire de collègues et amis que nous avons trouve des correspondants hors de nos frontières permettant ainsi au lecteur français d’avoir une idée plus précise d’une part de l’importance et de la reconnaissance accordées à cette école de pensée mais aussi d’autre part des conditions d’accueil, toujours spécifiques selon les contextes nationaux, faites à ses travaux et recherches.

Ainsi, Henri Leroux et Ewa Bogalska Martin, respectivement forts de leurs liens avec l’Italie et la Pologne, nous mirent en contact pour le premier avec le professeur Virginio Marzocchi (université de la Sapienza. Rome), lequel fit suivre notre demande à son jeune collègue Giovanni Battista Clémente, aujourd’hui prématurément décédé et à l’aube d’une prometteuse carrière et pour la seconde avec Waldemar Czajkowski ; l’un et l’autre assurèrent la traduction des textes qui leur parvinrent. John O’Neill (université de York. Ontario, Canada), sollicita H.T. Wilson dont le texte fut traduit par Jean Kempf (université Louis Lumière, Lyon 2). Martha Giné Janei (université de Lerida) nous indiqua le nom de Luis Castro Nogucira et Marie Léontsini (université de Crète) se fit notre avocate auprès de Stélios Alexandropoulos.

Nous remercions vivement ces collègues d’avoir grandement contribué à rendre possible ce projet : sans leur amicale médiation, il n’aurait pu aboutir.
Nos plus sincères remerciements vont enfin et plus particulièrement d’abord aux auteurs de contributions qui ont bien voulu nous laisser le temps requis pour I’édition du présent ouvrage, ensuite aux éditions Syllepse d’avoir accepté de le publier et enfin à Gisèle Peuchlestrade pour l’aide à sa réalisation.

Alain Blanc
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(1934-2004)