Fétichisme et critique de la modernité [Entretien]
Critique communiste (Juin 1994)
De Fétichisme et Société (1973) à Critique du travail (1987), Jean-Marie Vincent développe une critique de la modernité capitaliste en systématisant la théorie du fétichisme de la marchandise de Marx. Tour d’horizon des questions soulevées par une théorie restée toujours marginale dans la tradition marxiste et qui, pourtant, engage toute la problématique marxienne de la valeur.
Algérie : Durcissement et amplification de la répression [Pétition]
Tribune Internationale – La Vérité (Janvier 1984)
Nous, soussignés, nous élevons contre l’arrestation arbitraire dont sont victimes ces personnes, demandons leur libération, ainsi que celle de tous les détenus politiques.
Algérie. Contre la répression : déclaration du Groupe communiste révolutionnaire [Pétition]
Inprecor (Juin 1980)
Proposé par le Comité contre la répression en Algérie, le texte de pétition suivante a déjà recueilli les signatures que nous reproduisons ci-après
The PCF and its history
New Left Review (Novembre 1968)
The socialist revolution in France cannot be a repetition of the May events, any more than the 1917 Revolution (February and October) was a repetition of 1905. The May events were a tremendous explosion, in which (through tracts, meetings, newspapers and even sometimes through the distorted accounts in the bourgeois press) forgotten revolutionary traditions and intellectual weapons were rediscovered by hundreds of thousands of workers and students.
The Left in France
New Left Review (Juillet 1964)
Prime Minister Georges Pompidou—unlike any leader under the Fourth Republic—can now permit himself to say that his government is against reducing the profits of the large capitalist concerns. Politically, the authoritarian character of the régime has grown more acute, without the anti-Gaullist parties being willing or able to offer any serious resistance. Reform of the administration and of the system of municipal elections has been pushed through Parliament with almost no blockage : reforms meant to reinforce, if not actually fix for eternity, the domination of Gaullist organizations.
Kallscheuer Otto. Marxismus und Erkenntnisthéorie in Europa. Eine politische Philosophiegeschichte, Campus Verlag, Frankfurt/Main-New-York, 1987
Actuel Marx (Janvier 1988)
Les résultats de ces efforts dans toute une série de domaines se sont pas négligeables (sociologie, économie etc...), mais O. Kallscheuer juge que le travail effectué est trop marqué par une conception trop étroite de la méthodologie marxienne, ramenée pour l’essentiel à une dialectique des formes de la valeur et du capital censée expliquer la totalité des phénomènes de la société capitaliste, notamment les phénomènes politiques, voire chez les plus extrémistes les formes de la pensée.
Yves Sintomer, Vincent Jean-Marie. Critique du travail. Le faire et l’agir. Paris, PUF (Pratiques théoriques), 1987
Actuel Marx (Mai 1991)
Pour J.M. Vincent, il s’agit précisément de renverser cette perspective : il faut dégager l’étreinte des procès de valorisation (celui du capital comme celui des subjectivités monadiques) pour permettre l’épanouissement des rapports dialogiques ouverts sur les autres et sur les choses.
À l’extrême-gauche les militants de l’ex-Ligue communiste créent le Front communiste révolutionnaire
Le Monde (Avril 1974)
Les militants de l’ex-Ligue communiste, dissoute en juin 1973, ont profité de la campagne présidentielle pour créer un nouveau mouvement, auquel ils songeaient depuis quelque temps, le Front communiste révolutionnaire, dont la direction provisoire comprend notamment MM. Alain Krivine, Pierre Frank, Pierre Rousset, Jean-Marie Vincent, Michel Field et Michel Recanati.
Défense de la Ligue
Le Monde (Juillet 1973)
Que les bonnes âmes libérales ne se rassurent pas trop vite ! Qu’elles ne se laissent pas bercer par des refrains écoulés sur la violence des extrêmes ! La dissolution de la Ligue communiste sous l’égide de Pompidou-Marcellin est une affaire très grave par tout ce qu’elle dévoile et tout ce qu’elle laisse deviner.
Le pouvoir dans la représentation
Démocratie et représentation (Janvier 1995)
La constitution n’est pas au premier chef une charte des libertés politiques, elle a pour but principal d’anticiper pour les maîtriser les dérapages de la représentation, c’est-à-dire les débordements possibles vers une mise en question de la représentation première par les représentations secondaires. Il est en effet important que la mise en scène par les groupes dominés de leur propre situation dans le cadre des rapports de pouvoir ne puisse pas aller jusqu’à une critique conséquente de l’interdépendance des rapports de violence du bas en haut de la société, car une telle critique est très dangereuse dans la mesure où elle est susceptible d’ouvrir la voie à de nouvelles pratiques.
Les obstacles à la représentation politique
Les paradigmes de la démocratie (Mai 1994)
La cause est entendue. Il est difficile de défendre la démocratie directe comme principe unique d’organisation politique. On ne voit pas pourquoi tout le monde serait prêt à tout moment et en tout lieu à participer aux affaires publiques. On ne voit pas non plus pourquoi il pourrait y avoir un passage simple des activités sociales aux activités politiques.
Préface
Joël Martine, Ontologie de la société, psychanalyse de la vie sociale : le jeu de la salvation (Octobre 1997)
Il s’agit de déterminer ce qu’une société donnée, son imaginaire (au sens de Lacan), sa production symbolique, sa production de rapports sociaux créent comme obstacles à la raison. De ce point de vue, Joël Martine, avec sa tranquille assurance, va indéniablement plus loin que Horkheimer et Adorno. Mais, paradoxalement, cette avancée fait ressortir les interrogations que le texte antérieur pose, malgré tout, au texte récent de Joël Martine.
Max Weber et les limites de la “Realpolitik”
Les Cahiers de Fontenay (Septembre 1992)
La sociologie politique de Max Weber est incontestablement une sociologie de la domination et des formes de domination. La force et la violence sont pour lui essentielles dans les processus politiques et dans le fonctionnement des institutions politiques. Il est pourtant difficile de le classer parmi les apologètes purs et simples de la violence et de la coercition ou parmi les partisans de la « Realpolitik ». Le pouvoir est largement volonté de puissance selon lui, mais les systèmes politiques comme systèmes de domination ont besoin d’être légitimés si l’on veut qu’ils soient durables : il n’y a pas de domination sans légitimation, c’est-à-dire sans un certain dosage de coercition et de consentement pour employer une autre terminologie.
Marx l’obstiné
Marx après les marxismes (Janvier 1997)
La pensée de Marx marque une césure dans l’histoire de la théorie : qu’on le veuille ou non, il y a un avant et un après Marx, et un après Marx qui ne veut pas et ne peut pas finir. Malgré l’effondrement du « socialisme réel » et la crise des organisations politiques qui revendiquent l’héritage de l’auteur du Capital son œuvre est toujours l’objet de controverses et d’affrontements récurrents au-delà des phénomènes de mode.
Marx après les marxismes
Marx après les marxismes (Janvier 1997)
Lorsque le comité de rédaction de Futur antérieur a décidé de mettre au point un ouvrage collectif sur Marx après les marxismes, il ne s’attendait pas à l’écho que son invitation allait rencontrer. Le texte qui suit reprend la lettre envoyée pour appeler à participer à cette réflexion sur Marx. L’abondance des contributions qui nous sont parvenues nous oblige à publier deux volumes. Il va de soi que les auteurs ont pu s’exprimer en toute liberté la préoccupation de la revue n’étant pas de proposer une nouvelle image de Marx mais de travailler à éclairer des aspects ignorés ou occultés de l’œuvre marxienne. Il ne faut pas s’y méprendre pourtant : la variété des contributions ne résulte pas d’une volonté d’éclectisme mais révèle notre souci de cerner sous plusieurs angles une œuvre méconnue, dans ces bévues comme dans ces percées.
Grandeur et décadence des partis communistes
Perspectives socialistes (Janvier 1959)
La dislocation sociale
Veredas (Septembre 1999)
Derrière l’apparence de normalité, le monde social vécu par les individus est instable et soumis à de fortes perturbations, alors qu’ils ont précisément besoin de stabilité pour entretenir des relations satisfaisantes entre eux. Ces déficits de sociabilité placent les individus dans une situation où ils sont incapables de faire face à l’omniprésence de la violence dans la société, à la violence qu’ils subissent, à la violence qu’ils infligent aux autres ou à eux-mêmes. Il y a ici une violence sourde, répétitive et anonyme qui provient d’abstractions réelles, de dispositifs de valorisation. Il y a la violence qui se développe dans les relations de travail (rythmes de travail, menaces de chômage, etc.). Il y a aussi la violence subie dans la compétition pour un emploi, pour un revenu suffisant et les moyens spatio-temporels de l’autonomie. Les forces des individus, contraints de vendre leur force de travail, leur sont enlevées par les dispositifs du capital, à la fois comme forces individuelles et collectives. Ces dispositifs, comme le dit Marx, viennent de puissances étrangères qui se retournent contre les salariés en tant que forces du capital. Il s’agit d’une violence particulièrement insidieuse, d’autant plus insidieuse qu’elle est moins perceptible que d’autres formes de violence.
"Démocratie et totalitarisme" revisités (La démocratie et Claude Lefort)
L’Ignorance du peuple, essais sur la démocratie (Octobre 1998)
Il ne faut cependant pas se leurrer sur la portée de ces oppositions récurrentes. La plupart du temps elles sont absorbées et assimilées par la dynamique capitaliste car elles n’arrivent pas à contrer les codes du capital et à construire des codes différents qui leur seraient propres. Le monde social vécu est en effet peuplé des créatures du capital, de ces objets sociaux qui servent d’appuis à la vie quotidienne, de ces marchandises fétiches qui procurent de la jouissance et de ces flux d’informations et d’images médiatiques qui submergent les communications interindividuelles et dont il est très difficile de se défendre. C’est ce qui autorise Adorno à dire, sans avoir toujours été compris, que les rapports sociaux sont recouverts et dominés par un ensemble de connexions aveuglantes qui empêchent les hommes de saisir d’où viennent et comment opèrent les significations sociales dans lesquelles ils baignent. Pour permettre à la création symbolique de se manifester librement, il est donc nécessaire de déconstruire ces connexions aveuglantes, de les décoder pour démonter ensuite les dispositifs de la subsomption réelle.
Comment se débarasser du marxisme ?
Congrès Marx International. Cent ans de marxisme. Bilan critique et prospectives (Avril 1996)
La critique de l’économie politique est par conséquent critique de la positivité du capital et des formes d’activité qui lui sont liées. Ce qui revient à dire qu’elle est fondamentalement critique de la positivité de l’économie et de son autonomisation par rapport aux autres pratiques. Elle n’est pas seulement historicisation des catégories économiques, elle est élucidation de leurs principes et règles de construction à partir de rapports sociaux déterminés au delà de l’analyse des mouvements du capital.
Liberté et socialité
Futur antérieur (Juin 1990)
De ce point de vue, il n’est pas exagéré de dire que le mouvement ouvrier ne comprend en général pas la radicale nouveauté des pratiques qu’il est susceptible de mettre en oeuvre, notamment la mobilisation volontaire et consciemment assumée sur des objectifs élaborés dans la variété des apports les plus divers, dans le dépassement des cloisonnements, dans l’extension et l’approfondissement des échanges symboliques. Il en reste pour l’essentiel à l’idée de pratiques d’emblée homogènes ou encore à l’idée d’une unité de lutte qui s’obtient sans conflits majeurs et sans efforts pour intégrer des groupes sociaux différents les uns des autres dans leurs pratiques quotidiennes. Au fond le marché du travail est censé produire spontanément des éléments d’unification de la classe à partir du moment où la concurrence entre les individus est sinon supprimée, du moins fortement atténuée par le syndicalisme ou la coalition. L’unité est simplement accumulation de forces immédiatement constatables, elle n’est pas production de relations nouvelles entre les groupes et les individus, reconstruction du tissu social par la prise en charge d’interdépendances et de liaisons objectives entre les différentes composantes d’une même classe, au-delà de divergences temporaires et de discontinuités inévitables, dans l’espace et dans le temps.
Science et idéologie un siècle après le Capital
En partant du Capital (Janvier 1968)
L’idéologie n’est pas directement le produit des intérêts des classes sociales, et elle n’est pas non plus auto-justification, elle est une sorte de myopie spontanée dans le contexte de l’économie marchande la plus développée, l’économie capitaliste. La critique de l’économie politique, par suite, n’est pas une critique des intentions ou des valeurs sous-jacentes aux analyses des économistes classiques, mais pour l’essentiel une critique de la limitation à l’étude du donné et des manifestations phénoménales.
Weber ou Marx
L’Homme et la société (Octobre 1968)
Dans un exposé sur le socialisme fait en 1918 devant les officiers autrichiens, Max Weber énumérait toutes les raisons qui, à son avis, permettaient de qualifier la conception marxiste de la société socialiste d’irréalisable et, puisqu’irréalisable, d’utopie dangereuse.
Peut-il y avoir une réforme de l’entreprise ?
Cahiers du Centre d’études socialistes (Mai 1967)
Le travailleur ne peut être libre au niveau de l’entreprise que si celle-ci est intégrée à des processus économiques globaux qui ne fassent pas du salarié un simple rouage dans une machine à produire de la plus-value. La planification de l’économie, et le contrôle social de la production ne sont pas simplement affaire de rationalité, ils sont indispensables pour mettre fin au salariat, c’est-à-dire à la subordination du travail aux critères de la mise en valeur du capital.
Comment se débarasser du marxisme ?
Congrès Marx International. Cent ans de marxisme. Bilan critique et prospectives (Avril 1996)
Le désenchantement du monde : Max Weber et Walter Benjamin
Revue européenne des sciences sociales (Janvier 1995)
The Left in France
New Left Review (Juillet 1964)
La détermination de la négation
La Théorie critique de l’école de Francfort (Janvier 1976)
La noire sociologie américaine
L’Humanité (Février 2004)
La domination du travail abstrait
Critiques de l’économie politique (Octobre 1977)
Michel Husson, "Forme et mesure de la valeur"
Colloque « Jean-Marie Vincent, un théoricien critique » (Mai 2005)
Critique du travail. Le faire et l’agir
PUF (Juin 1987)
Quatrième internationale
E. Mandel, La Longue marche de la révolution (Janvier 1976)
La lecture symptomale chez Althusser
Politique et philosophie dans l’oeuvre de Louis Althusser (Mars 1991)
Pensée critique et catastrophe ordinaire
Futur antérieur (Mars 1991)
Alastair Hemmens, "The New Spirit of Capitalism and the Critique of Work in France Since May ’68"
The Critique of Work in Modern French Thought. From Charles Fourier to Guy Debord (Mars 2019)
Le théoricisme et sa rectification
Contre Althusser (Janvier 1974)
Scription Rouge, "La crise de l’althussérisme et l’intervention des marxistes-révolutionnaires"
Marx ou crève (Mai 1975)
Le monde inhumain de la valeur, selon Marx
L’Humanité (Juin 2003)
Les transformations de la société française et la lutte des classes
La Ve République à bout de souffle (Janvier 1977)
Lire Schelling autrement
Futur antérieur, (Février 1994)
Un autre Marx. Après les marxismes
(Janvier 2001)
Kallscheuer Otto. Marxismus und Erkenntnisthéorie in Europa. Eine politische Philosophiegeschichte, Campus Verlag, Frankfurt/Main-New-York, 1987
Actuel Marx (Janvier 1988)
Adorno and Marx
Critical Companion to Contemporary Marxism (Septembre 2008)
Lelio Basso, "Problèmes du socialisme international : la politique des partis communistes"
Cahiers du Centre d’études socialistes (Janvier 1962)
Max Weber et les limites de la “Realpolitik”
Les Cahiers de Fontenay (Septembre 1992)
Les atteintes au droit de grève (France)
Revue internationale du socialisme (Janvier 1964)
Dialogue et solitude : sur le dialogue Jaspers-Heidegger
Futur antérieur (Juin 1991)
Présentation
Robert Michels, Critique du socialisme. Contribution aux débats du XXe siècle (Janvier 1992)
A propos de « Raison et Légitimité » de Jürgen Habermas
Critique communiste (Janvier 1979)
L’humanisme et l’école de Francfort : l’humanité comme utopie
Revue d’Allemagne (Janvier 1993)
Impasses et virtuosités
Tribune Socialiste (Avril 1970)
Aux sources de la pensée de Max Weber
L’Homme et la société (Octobre 1967)
L’Allemagne des incertitudes
Les Temps modernes (Novembre 1986)
Classe et parti
Critique socialiste (Mars 1970)
Démocratie représentative et démocratie directe
La gauche, le pouvoir, le socialisme : hommage à Nicos Poulantzas (Avril 1983)
Paradoxes autour du travail
Futur antérieur (Mars 1992)
Yougoslavie : la barbarie nationaliste
Futur antérieur (Septembre 1992)
La vague des grèves en Europe
Que faire (Février 1970)
L’humanité comme utopie. L’humanisme et l’école de Francfort
Utopie critique (Mars 1994)
La méthodologie de Max Weber
Les Temps modernes (Avril 1967)
La dégradation de la vie politique
Futur antérieur (Janvier 1992)
De te fabula narratur
Futur antérieur (Mai 1992)
L’intégration européenne et le mouvement ouvrier
Cahiers du Centre d’études socialistes (Septembre 1964)
Max Weber, Robert Michels, Antonio Gramsci et le parti ouvrier
Le Droit, la politique autour de Max Weber, Hans Kelsen, Cal Schmitt (Janvier 1995)
Les équivoques de la nation : France et Allemagne
Science(s) politique(s) (Février 1993)
Esthétique. Avec des mots contre les mots
L’Humanité (Mars 2004)
L’humanité comme utopie. L’humanisme et l’école de Francfort
Utopie critique (Mars 1994)
Entre le mouvement ouvrier organisé et les classes dominantes, un rôle d’intermédiaire privilégié. Social-démocraties européennes
Le Monde diplomatique (Septembre 1981)
Parodies
Futur antérieur (Mars 1995)
La riforma della pianificazione nella Rdt
Problemi del socialismo (Juillet 1965)
Fétichisme et critique de la modernité [Entretien]
Critique communiste (Juin 1994)
Antoine Artous, "Le marxisme comme théorie critique"
Critique communiste (Mars 2004)
Remarques sur Marx et Weber comme théoriciens du droit et de l’Etat
Archives de philosophie du droit (Janvier 1967)
Entretien avec Pierre Naville sur l’automation et l’avenir du travail
Critiques de l’économie politique (Octobre 1977)
Mythe et raison
La Théorie critique de l’école de Francfort (Janvier 1976)
Les voies du réformisme
Critique communiste (Juin 1980)
La sociologie en contrepoint
L’Homme et la société (Janvier 1990)
Stephen Bouquin, "Domination au travail, ou domination du travail abstrait ? La contribution de Jean-Marie Vincent à une sociologie critique du travail"
Variations (Juillet 2006)
La Ve République à bout de souffle
avec Denis Berger et Henri Weber (Janvier 1977)
La politique de la modernité selon Max Weber
Les Cahiers de Fontenay (Juin 1990)
Contre le Front National
Futur antérieur (Février 1995)
La vraie et la fausse polémique
Tribune Socialiste (Février 1971)
Les automatismes sociaux et le “general intellect”
Futur antérieur (Mai 1993)
Le P.C.F. sans la révolution
Critique socialiste (Avril 1971)
Sur Rudolph Bahro. Les contradictions du socialisme réel
Dialectiques (Avril 1979)
Les métamorphoses de la sociologie allemande après 1945
Cahiers internationaux de sociologie (Juillet 1999)
Sciences sociales et superficie de la société
Variations (Septembre 2003)
Guerre sociale, mouvement social, mouvement sociétal
Variations (Mars 2005)
Europe’s Universities : Organized Chaos
Contemporary European Affairs (Janvier 1990)
Antoine Artous, "Etat, « bio-pouvoir », émancipation
Colloque (Mai 2005)
Algérie. Contre la répression : déclaration du Groupe communiste révolutionnaire [Pétition]
Inprecor (Juin 1980)
Discours sur l’égalité entre les hommes
Futur antérieur (Février 1994)
Chômage invisible
L’Humanité (Juin 2003)
L’espoir à deux vitesses. Une Allemagne trop puissante ?
Le Monde diplomatique (Avril 1990)
Introduction
Marx ou crève - revue de critique communiste (Avril 1975)
Guy Dhoquois, Pour l’Histoire, Paris, Anthropos, 1971 [compte-rendu]
L’Homme et la société (Janvier 1972)
Droit naturel et marxisme moderne
Archives de philosophie du droit (Janvier 1965)
L’agonie de l’Etat-providence. Une période du dépérissement de la démocratie politique
Le Monde diplomatique (Mars 1979)
Avertissement pour deux textes italiens
Critique socialiste (Janvier 1971)
L’Europe en péril
Futur antérieur (Novembre 1993)
Kelsen et l’Etat de droit
Analyse de l’idéologie (Septembre 1980)
Rosa Luxembourg, "L’introduction du capitalisme en Algérie"
Tribune Marxiste (Février 1958)
Los Angeles , l’Europe de Maastricht et le nouvel ordre mondial
Futur antérieur (Mai 1992)